Actualité
Un jour sur trois : le prix du collectivisme
Bougival, l’économie administrée, et la ruine à crédit
1 jour de travail sur 3. C’est ce qu’il reste à Madame Michu pour elle-même et ses enfants. Les deux autres ? Pour l’administration, les taxes, la dette et un système qui s’effondre. Et pourtant, ils veulent continuer. Continuer Bougival. Continuer le collectivisme. Continuer à “piloter” un pays appauvri par une économie administrée. Dans cet article, on remonte à la racine du mal : Ce n’est pas le peuple qui a échoué. C’est le modèle.
Il est temps de nommer l’ennemi : le socialisme néo-colonial. Et de rouvrir la voie : celle de la liberté, de la vérité, et de l’esprit pionnier.
Chaque lundi matin, Madame Michu se lève pour bosser.
Le lundi, elle travaille pour le gouvernement. Le mardi, pour la province. Le mercredi, pour la mairie, les taxes, les caisses sociales, les syndicats, les chambres consulaires, les autorités de contrôle. Ce n’est que le jeudi et le vendredi qu’elle travaille pour elle. Et encore.
63 % de la richesse produite en Nouvelle-Calédonie est captée par le secteur public. On appelle ça un impôt déguisé. Mais en Calédonie, on appelle ça un modèle. Dans les années 1950, on travaillait un jour sur trois pour financer nos services publics. Dans les années 2000, un jour sur deux. En 2025, deux jours sur trois. Bienvenue dans la République des perfusés.
Le poids mort de léviathan
Chute des recettes fiscales. Stagnation voire baisse démographique. Dette publique qui grimpe de 3 à 5% par an. Et toujours plus de personnel, plus d’organismes, plus d’agences, plus de postes. Le social calédonien ressemble à un Ponzi où chacun espère sortir avant l’effondrement.
Jean Freyss, en 1995, l’avait déjà vu :
« En Nouvelle-Calédonie, l’économie n’est pas structurée par le marché, mais par la distribution. La dépense publique se substitue à la production. Et l’emploi n’est pas le résultat d’une valeur ajoutée, mais d’une volonté politique. »
Autrement dit : ce n’est pas la richesse qui crée les salaires, ce sont les subventions.
Pisani, 1985 : ils avaient déjà raté la cible
On croit que Bougival est un tournant. En fait, c’est une boucle. Une deuxième édition du plan Pisani de 1985. On tente d’acheter la paix. Mais on reconduit le piège. « Le socialisme fonctionne jusqu’à ce que l’on ait dépensé tout l’argent des autres », disait Margaret Thatcher. Et nous y sommes.
Bougival n’est pas un accord de paix : c’est un accord socialiste. Encore plus de redistribution. Encore plus de guichets uniques. Encore moins de production. À la fin, ce n’est pas l’État qui tiendra la Calédonie. C’est l’Etat fantoche de Calédonie qui implosera sous le poids de sa fonction publique après avoir ruiné le secteur privé.
Un avenir confisqué
Aujourd’hui, un Calédonien sur deux est lié à une dépense publique. La jeunesse ne veut plus entreprendre, elle veut passer des concours. Les entreprises ne cherchent plus à produire, mais à capter les marchés publics. Les syndicats négocient avec des directions… qui n’ont pas à gérer leur rentabilité.
C’est une économie de rente. Et une rente sans rente. On continue à distribuer, mais on a cessé de créer.
La solution ? Rompre avec la matrice
Il faut redonner une place à l’initiative, à la production, au risque et à la liberté. Naguère, c’était ça l’esprit pionnier. Il faut desserrer l’étau fiscal, geler les effectifs publics, libérer les terres, simplifier les autorisations, et arrêter de prendre l’argent de Madame Michu.
On n’a pas besoin de plus d’aides : on a besoin de plus de possibles. Ce n’est pas une question idéologique, c’est une question de survie. Dans les années 1980, on a raté le tournant. En 2025, on ne peut plus se permettre de se tromper.
Ce n’est pas un accord qu’il faut réviser. C’est un modèle qu’il faut renverser.

Ok Sirius.
De combien acceptez vous de baisser votre niveau de vie ?
Et sempiternelle question, quelles sont les parties du mammouth que vous voulez dégraisser ?
“libérer les terres”
et le lagon !…
Inforétif
“libérer les terres”
“et le lagon !…”
Sans oublier : Легализуйте это
https://www.youtube.com/watch?v=W5BmXFRCdPk&list=RDW5BmXFRCdPk&start_radio=1
Ché pas si Vlad goûte ce genre d’humour.