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Didier « Panoramix » Raoult va-t-il tous nous sauver ?
Comme les guerres, les crises, sanitaires ou non, sont propices à l’émergence de personnalité vers lesquels les peuples se tournent. Le professeur Didier Raoult était jusqu’alors totalement inconnu du grand public, et le voilà qui pourrait nous sauver du coronavirus.
Didier Raoult c’est avant tout un physique et une histoire, celle d’un jeune cancre devenu médecin puisque les études de médecine étaient les seules qu’acceptait de financer son père ! Didier Raoult a un physique et une trogne de druide, à tel point que les chroniqueurs l’ont surnommé Panoramix, créateur aujourd’hui d’une potion magique destinée à combattre le coronavirus. L’homme est loin d’être un charlatan ou un illuminé, c’est même l’une des plus grandes sommités mondiales dans le domaine biomédical ! Il totalise plus de 2000 publications scientifiques à lui seul, et fait partie des 400 auteurs les plus cités du domaine biomédical. Il a reçu le prestigieux Grand Prix INSERM en 2010 pour l’ensemble de sa carrière. Car aujourd’hui, Didier Raoult est un éminent infectiologue, professeur de microbiologie spécialisée dans les maladies infectieuses tropicales. Il est au cœur du sujet.
La polémique
La polémique est née qu’en pleine épidémie, le professeur Raoult déclare que les essais de traitement qu’il a réalisé à l’hôpital de la Timone à Marseille, avec la Chloroquine, un antipaludique, donne d’excellents résultats. Ces déclarations reçoivent un écho mondial jusqu’à Donald Trump qui annonce vouloir commander des centaines de milliers de dose pour les Américains. Mais Didier Raoult est une personnalité contestée, en particulier dans la communauté scientifique, sans doute parce qu’il défend entre autres des thèses climato-septiques. L’efficacité des essais qu’il réalise est mise en doute notamment en raison des effets secondaires de la chloroquine, pouvant provoquer des troubles cardiovasculaires. De plus, l’étude lancée par le professeur Raoult ne porte que sur un très faible nombre de cas, néanmoins le gouvernement peine à autoriser les praticiens hospitaliers qui le souhaitent, et dans des conditions de contrôle médical très strict, à traiter les cas les plus graves avec la préconisation thérapeutique de Didier Raoult.
Un remède sinon rien
Alors que plusieurs pays étrangers, comme le Maroc hier, ont décidé d’instaurer un protocole de soin à base de chloroquine pour leur population, en France, on assiste à des guerres picrocholines sur le sujet. Elles opposent, d’un côté, les bobos parisiens incultes qui dirigent ce qui reste de l’Etat et, de l’autre, un médecin marseillais à grande gueule qui semble être le seul à avoir trouvé un remède contre la pandémie de COVID19. Pour ce dernier, le confinement mis en place aujourd’hui est un remède du moyen-âge, attendu que c’était déjà la méthode utilisée lors des grandes épidémies de peste… Dans les jours qui viennent, alors que la population aura tout le temps de prendre connaissance des travaux du docteur Raoult, nul doute que la grande bataille qui se jouera sera celle de l’opinion publique. Une grande partie du monde étant désormais à l’arrêt, les citoyens – et particulièrement les Français qui depuis quelques jours ont tous semble-t-il obtenu leur diplôme de médecine avec une spécialisation en virologie – ces citoyens donc, vont se faire un avis et juger sur pièce les résultats du traitement Raoult. Reste que si celui-ci apparait efficace et que les « plus hautes autorités sanitaires » ont eu tort de s’y opposer, alors nos gouvernants auront des comptes à rendre….
Retrouvez ci-dessous l’entretien avec le Pr Raoult du Parisien- Aujourd’hui en France, lequel juge « immoral » de ne pas administrer la chloroquine aux malades du Covid-19 dès maintenant.
LP : Le gouvernement a autorisé un essai clinique de grande ampleur pour tester l’effet de la chloroquine sur le coronavirus. C’est important pour vous d’avoir obtenu cela ?
Pr Raoult : Non, je m’en fiche. Je pense qu’il y a des gens qui vivent sur la Lune et qui comparent les essais thérapeutiques du sida avec une maladie infectieuse émergente. Moi, comme n’importe quel docteur, à partir du moment où l’on a montré qu’un traitement était efficace, je trouve immoral de ne pas l’administrer. C’est aussi simple que ça.
LP: Que répondez-vous aux médecins qui appellent à la prudence et sont réservés sur vos essais et l’effet de la chloroquine, notamment en l’absence d’études plus poussées ?
Pr Raoult: Comprenez-moi bien : je suis un scientifique et je réfléchis comme un scientifique avec des éléments vérifiables. J’ai produit plus de données en maladies infectieuses que n’importe qui au monde. Je suis un docteur, je vois des malades. J’ai 75 patients hospitalisés, 600 consultations par jour. Donc, les opinions des uns et des autres, si vous saviez comme ça m’est égal. Dans mon équipe, nous sommes des gens pragmatiques, pas des oiseaux de plateau télé.
LP: Comment en êtes-vous arrivé à travailler sur la chloroquine en vous disant que cela pouvait être efficace pour traiter le coronavirus ?
Pr Raoult: Le problème dans ce pays est que les gens qui parlent sont d’une ignorance crasse. J’ai fait une étude scientifique sur la chloroquine et les virus il y a treize ans qui a été publiée. Depuis, quatre autres études d’autres auteurs ont montré que le coronavirus était sensible à la chloroquine. Tout cela n’est pas une nouveauté. Que le cercle des décideurs ne soit même pas informé de l’état de la science, c’est suffocant. L’efficacité potentielle de la chloroquine sur les modèles de culture virale, on la connaissait. On savait que c’était un antiviral efficace. On a décidé dans nos expérimentations d’ajouter un traitement d’azithromicyne (un antibiotique contre la pneumonie bactérienne, NDLR) pour éviter les surinfections bactériennes. Les résultats se sont révélés spectaculaires sur les patients atteints du Covid-19 lorsqu’on a ajouté l’azithromycine à l’hydroxychloroquine.
LP : Qu’attendez-vous des essais menés à plus grande échelle autour de la chloroquine ?
Pr Raoult : Rien du tout. Avec mon équipe, nous estimons avoir trouvé un traitement. Et sur le plan de l’éthique médicale, j’estime ne pas avoir le droit en tant que médecin de ne pas utiliser le seul traitement qui ait jusqu’ici fait ses preuves. Je suis convaincu qu’à la fin tout le monde utilisera ce traitement. C’est juste une question de temps avant que les gens acceptent de manger leur chapeau et de dire, c’est ça qu’il faut faire.
LP : Sous quelle forme et pendant combien de temps administrez-vous la chloroquine à vos patients ?
Pr Raoult : On donne de l’hydroxychloroquine à raison de 600 mg par jour pendant dix jours (sous forme de Plaquenil, le nom du médicament, NDLR) sous la forme de comprimés administrés trois fois par jour. Et de l’azithromycine à 250 mg à raison de deux fois le premier jour puis une fois par jour pendant cinq jours.
LP : Est-ce un traitement qui peut être pris en prévention de la maladie ?
Pr Raoult : Nous ne le savons pas.
LP : Lorsque vous l’administrez, au bout de combien de temps un patient atteint du Covid-19 peut-il guérir ?
Pr Raoult : Ce qu’on sait pour l’instant, c’est que le virus disparaît au bout de six jours.
LP : Comprenez-vous néanmoins que certains de vos confrères appellent à la prudence sur ce traitement ?
Pr Raoult : Les gens donnent leur opinion sur tout, mais, moi, je ne parle que de ce que je connais : je ne donne pas mon opinion sur la composition de l’équipe de France enfin ! Chacun son métier. La communication scientifique de ce pays s’apparente aujourd’hui à de la conversation de bistrot.
LP : Mais n’y a-t-il pas des règles de prudence à respecter avant l’administration d’un nouveau traitement ?
Pr Raoult : A ceux qui disent qu’il faut trente études multicentriques et mille patients inclus, je réponds que si l’on devait appliquer les règles des méthodologistes actuels, il faudrait refaire une étude sur l’intérêt du parachute. Prendre 100 personnes, la moitié avec des parachutes et l’autre sans et compter les morts à la fin pour voir ce qui est plus efficace. Quand vous avez un traitement qui marche contre zéro autre traitement disponible, c’est ce traitement qui devrait devenir la référence. Et c’est ma liberté de prescription en tant que médecin. On n’a pas à obéir aux injonctions de l’Etat pour traiter les malades. Les recommandations de la Haute autorité de santé sont une indication, mais ça ne vous oblige pas. Depuis Hippocrate, le médecin fait pour le mieux, dans l’état de ses connaissances et dans l’état de la science.
LP : Quid des risques d’effets indésirables graves liés à la prise de chloroquine, notamment à haute dose ?
Pr Raoult : Contrairement à ce que disent certains à la télévision, la Nivaquine (le nom d’un des médicaments conçus à base de chloroquine, NDLR) est plutôt moins toxique que le Doliprane ou l’aspirine prise à forte dose. En tout état de cause, un médicament ne doit pas être pris à la légère et toujours prescrit par un médecin généraliste.
LP : Avez-vous conscience de susciter un immense espoir de guérison pour les patients atteints ?
Pr Raoult : Je vois surtout qu’il y a des médecins qui m’écrivent du monde entier tous les jours pour savoir comment on traite des maladies avec l’hydroxychloroquine. J’ai reçu des appels du Massachusetts General Hospital et de la Mayo Clinic de Londres. Les deux plus grands spécialistes mondiaux, l’un des maladies infectieuses, l’autre des traitements antibiotiques, m’ont contacté pour me demander des détails sur la manière de mettre en place ce traitement. Et même Donald Trump a tweeté sur les résultats de nos essais. Il n’y a que dans ce pays qu’on ne sait pas très bien qui je suis ! Ce n’est pas parce que l’on n’habite pas à l’intérieur du périphérique parisien qu’on ne fait pas de science. Ce pays est devenu Versailles au XVIIIe siècle !
LP : Qu’entendez-vous par là ?
Pr Raoult : On se pose des questions franco-françaises et même parisiano-parisiennes. Mais Paris est complètement décalé du reste du monde. Prenez l’exemple de la Corée du Sud et la Chine, où il n’y a plus de cas. Dans ces deux pays, ils ont décidé depuis longtemps de faire des tests à grande échelle pour pouvoir diagnostiquer plus tôt les patients infectés. C’est le principe de base de la gestion des maladies infectieuses. Mais on est arrivé à un degré de folie tel que des médecins sur les plateaux télé ne conseillent plus de faire le diagnostic de la maladie, mais disent aux gens de rester confinés chez eux. Ce n’est pas de la médecine ça.
LP : Vous pensez que le confinement de la population ne sera pas efficace ?
Pr Raoult : Jamais on n’a pratiqué ainsi à l’époque moderne. On faisait ça au XIXe siècle pour le choléra à Marseille. L’idée du cantonnement des gens pour bloquer les maladies infectieuses n’a jamais fait ses preuves. On ne sait même pas si ça fonctionne. C’est de l’improvisation sociale et on n’en mesure pas du tout les effets collatéraux. Que se passera-t-il quand les gens vont rester enfermés chez eux, à huis clos, pendant 30 ou 40 jours ? En Chine, on a rapporté des cas de suicides par peur du coronavirus. Certains vont se battre entre eux.
LP : Faut-il, comme le réclame l’Organisation mondiale de la Santé, généraliser les tests en France ?
Pr Raoult : Ayons le courage de le dire : la tambouille à la française, ça ne marche pas. La France n’en est qu’à 5000 tests par jour quand l’Allemagne en effectue 160 000 par semaine ! Il y a une espèce de discordance. Dans les maladies infectieuses, on effectue le diagnostic des gens et, une fois qu’on a obtenu le résultat, on les traite. D’autant que l’on commence à voir des personnes porteuses du virus, apparemment sans signes cliniques, mais qui, dans un nombre non négligeable de cas, ont des lésions pulmonaires visibles au scanner montrant qu’ils sont malades. Si ces gens ne sont pas traités à temps, il y a un risque raisonnable qu’on les retrouve en réanimation où on ne les rattrapera pas. Ne tester les gens que lorsqu’ils sont déjà gravement malades est donc une manière extrêmement artificielle d’augmenter la mortalité.
LP : Et faut-il généraliser le port des masques ?
Pr Raoult : C’est difficile à évaluer. On sait qu’ils sont importants pour les personnels de soin, car ce sont les rares personnes qui ont vraiment des rapports très, très proches avec les malades lorsqu’ils les auscultent, parfois à 20 cm de leur visage. On ne sait pas très bien jusqu’où volent les virus. Mais certainement pas à plus d’un mètre. Donc, au-delà de cette distance, ça n’a peut-être pas beaucoup de sens de porter un masque. En tout cas, c’est vers les hôpitaux qu’il faut envoyer en priorité ces masques pour mettre les soignants à l’abri. En Italie et en Chine, une partie extrêmement importante de malades s’est révélée au final être des personnels de soins.
Japon: Masanori Fukushima, professeur émérite à l’université de Kyoto dit ses 4 vérités au Ministère de la Santé
“La moitié des décès suite à la vaccination sont dus à des lésions cardiovasculaires et cardiaques”
“Vous ignorez la science, la médecine et laissez les soins s’effondrer! C’est un désastre…”
“Vous dépensez des milliards pour le vaccin et forcez les gens à se l’injecter”
“(Vos scientifiques) ne sont pas des scientifiques, mais des fossoyeurs de la science qui s’arrangent avec la vérité, avec un mépris total pour la science et la médecine!”
“Masanori Fukushima…”
Faut avoir foutrement été contaminé par Fukushima (je parle des radiations…) pour sortir une pareille énormité :
“Des milliards de vies pourraient être en danger à cause des vaccins covidés, selon un professeur japonais…. Alerte les amis, combien de personnes devaient mourir d après Bill gates? 7 milliards …”
Ça vient encore de ce torchon complotiste :
https://www.profession-gendarme.com/des-milliards-de-vies-pourraient-etre-en-danger-a-cause-des-vaccins-covides-selon-un-professeur-japonais-alerte-les-amis-combien-de-personnes-devaient-mourir-d-apres-bill-gates-7-milliar/
Hé, Ducon la joie, alias Olivier Blanc, en 2024, soit 2 ans plus tard, ils sont où les 7 milliards de tués par les vaccins anti-covid ? !
Lolilol: https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&opi=89978449&url=https://www.laprovence.com/article/region/24523470423367/marseille-didier-raoult-perd-son-proces-contre-l-infectiologue-qui-l-accusait-de-proferer-des-foutaises&ved=2ahUKEwjtoPPk5M6EAxU-Z_UHHX93Av4QFnoECBEQAQ&usg=AOvVaw39NGn8-mj9IO3W4iqCQl2r
Sans déc conne nnnnner?https://youtu.be/Dn4gUeXdD6A?si=H4A7uF2sj3TTBMt4
Eichmann a obéi…
Tous les accusés à Nuremberg ont brandi ce même argument.
Et il y a fort à parier que les collaborateurs directs de Poutine battu, les Popov Lavrov, Peskov ou autre Valeri Vassilievitch Guerassimov reprendront la bouche en cœur ce leitmotiv au cours de leur prochain Nuremberg…
Comme Alik qui aura obéi au chef de sa ferme de propagandistes pro-Poutine qui menaçait de crever les pneus de sa Clio …
Sinon, Raoult confirme là, une fois de plus, son immense connardise.
… La fameuse chloroquine en vente libre pendant plus de 50 ans et qui comme par hasard est devenue très dangereuse et interdite à la vente… et le plus aberrant… à la prescription juste avant le super virus covid 19
Tu rabâches Ducon : la chloroquine a tjrs été en vente sur ordonnance en France et a tjrs été dangereuse au-delà de 4 à 500 mg/jour (un peu + ou – selon la masse du patient), dose préconisée par Raoult (si ECG normal, sinon pas de chloroquine, mais ça c’est seulement dans les pays munis d’électrocardiographes en quantité suffisante, donc pas en Afrique tropicale, Reducon). Quand on la prenait (avant 2010 car depuis l’agent du palu est devenu résistant ) en prévention du palu c’était tjrs au maximum 200 mg /jour. Relis ça 1000 fois, connard, jusqu’à ce que ça… Lire la suite »
23 mars 2020 en plein essais cliniques du traitement: “le professeur Bruno Lina donnait une explication complémentaire : «Ce sont deux molécules qui se ressemblent beaucoup, qui ont le même mode d’action, mais qui n’ont pas tout à fait le même profil de sécurité d’utilisation. On parle dans ces médicaments d’un index thérapeutique, c’est la différence de dose qui existe entre la dose thérapeutique et la dose toxique. Quand vous utilisez la chloroquine, la dose en schéma thérapeutique est très proche de la dose qui est connue pour être toxique chez l’homme. Pour l’hydroxychloroquine c’est un tout petit peu différent. Cette dose… Lire la suite »
“ Cette dose utilisée pour traiter l’homme est beaucoup plus basse que la dose toxique. C’est pour ça qu’on a choisi l’hydroxychloroquine.” En effet tous les articles scientifiques disponibles s’accordent sur la moindre toxicité de l’hydroxychloroquine (HCQ). Raison pour laquelle le plaquenil utilisé contre le lupus est de l’HCQ, pas de la chloroquine. Mais en mars 2020, penser que les doses d’HCQ utilisées pour la tester sur la covid n’étaient pas toxiques était un doux rêve, le professeur Bruno Lina ayant d’ailleurs été un des premiers à le constater et déplorer par la suite. En fait plein d’autres substances que… Lire la suite »
Je rappelle que mon message répond à une image de NIVAQUINE, donc de CHLOROQUINE, produite par le Tampon Periodique …
Donc ce plouc cite un médicament ancien, à base de chloroquine, dont même les promoteurs initiaux de l’hydroxychloroquine disent qu’il est TOXIQUE aux doses nécessaires pour leur protocole, sachant que les doses, de toutes façons ont augmenté depuis cet article, atteignant AUSSI, pour l’HCQ, le seuil toxique!
C’est dire à quel point ce mec est CON!
C’est tout à fait ça.
Et pour apparaitre se rendre encore plus “génial” que les qqes chercheurs chinois qui s’étaient initialement intéressés à l’hydroxychloroquine (mais pas longtemps, ils ont vite établi son inefficacité), Raoult a rajouté un antibiotique à son “traitement” par HCQ, sauf que le dit traitement ainsi “supplémenté” s’est avéré encore plus dangereux pour les malades insuffisants cardiaques !
Autre doc qui rappelle la toxicité de l’HCQ, même contre le lupus : https://fr.news.yahoo.com/covid-attention-comparaisons-trompeuses-entre-111627350.html?guccounter=1&guce_referrer=aHR0cHM6Ly93d3cuZ29vZ2xlLmNvbS8&guce_referrer_sig=AQAAABqfClHzIJ9E_yPoBE1koyxHH55sNsceXZaKBNxNkV40mwy9u2nMG2B-Gcb9yeCwGk6lZjgmHgCMbCUcz4uuASO_HJxERZ_Obt1uC8dQpeRZccFoBG1Wd-raKJAzNn-aoBfiqcI1O5DZFxWxtSQPeHzQp3YxoxCxiiVYTiiYTvUu « l’hydroxychloroquine était déjà connue avant la crise sanitaire pour ces effets indésirables, qui figuraient dans le résumé des caractéristiques du produit (archive) Pour certains internautes [dont Blanc…], le fait que l’hydroxychloroquine soit supportée sans problème depuis de nombreuses années par des patients atteints de rhumatismes inflammatoires ou de lupus érythémateux disséminé (une maladie auto-immune) remet en cause sa toxicité dans le Covid. Mais c’est faux : “Le risque est lié à l’indication, le médicament sur sa table n’est pas dangereux, ça dépend de la personne qui le prend“, insiste le Pr Molimard,… Lire la suite »
C’est la dose qui fait le poison, et c’est valable pour toutes les substances actives. Mais encore une fois: si elles ont un effet bénéfique sur la maladie, il faut peser le fameux “rapport bénéfice/risque”. Et pour une HCQ INEFFICACE contre la COVID, “la question est vite répondue”!!! Que du risque, aucun bénéfice, et ce ne sont pas les fausses études de Mon Con de Didier qui y changent quoi que ce soit! … Ce qui est une autre histoire avec le lupus, où le rapport semble rester en faveur de l’usage du médicament. Mais on atteint des finesses de… Lire la suite »
“… Ce qui est une autre histoire avec le lupus, où le rapport semble rester en faveur de l’usage du médicament.”
Semble, seulement : certains chercheurs sont dubitatifs, mais il n’y pas bcp d’autres solutions.
Et heureusement, ce traitement anti-lupus à l’HCQ (et non à la CQ !) n’est autorisé et initié qu’en milieu hospitalier, et à condition que l’état cardiaque des malades (tous systématiquement “écho-cardio-dopplerisés” et ECGraphiés périodiquement) le permette.
Inforétif “Et heureusement, ce traitement anti-lupus à l’HCQ (et non à la CQ !) n’est autorisé et initié qu’en milieu hospitalier, et à condition que l’état cardiaque des malades (tous systématiquement “écho-cardio-dopplerisés” et ECGraphiés périodiquement) le permette.”
Sous la supervision d’un médecin de pointe tel que : ” Le Grand Cactus : Les invités : Le ministre Vandenbroucke et le Dr… [vers les 4:13]”.
https://youtu.be/4dheFfnYxRY?t=253
Il y en a qui écoute les Professeurs et d’autre écoute les journalistes !!!
Y’en qui n’écoutent pas les professeurs mais prétendent le faire.
“C’est pour ça qu’on a choisi l’hydroxychloroquine. C’est le même mode d’action, et ça va avoir le même impact, mais par contre d’un point de vue sécurité du médicament, c’est beaucoup mieux que la chloroquine qui est potentiellement toxique”
Pr Ian Brighthope évoque le “vaccin” Covid lors de la Commission royale d’enquête COVID :
“Cela n’aurait jamais dû être injecté à un seul être humain… Cela ne restera jamais dans le muscle, contrairement à ce que l’on nous avait promis. Ça se déplace dans tout le corps. Ça se propage dans le cerveau, le cœur, les vaisseaux sanguins, les testicules et les ovaires. C’est la raison pour laquelle nous voyons tant de personnes souffrir d’effets indésirables graves, ”
https://odysee.com/@Q…uestions:6/Cela-n’aurait-jamais-d%C3%BB-%C3%AAtre-inject%C3%A9-%C3%A0-un-seul-%C3%AAtre-humain—Pr-Ian-Brighthope:2
Le Pr Ian Pithécanthrope ? Inconnu au bataillon.
“Inconnu au bataillon ”
A part par le bataillon de gogos qui avalent n’importe quoi sur la toile et ont une connaissance du principe de fonctionnement d’une injection vaccinale d’un enfant de maternelle de la section des petits!
+ 1 !
Renseignements pris, ce Brighthop s’était en fait laissé embobiner par Raoult et préconisait donc pour les malades australiens du covid des traitements “précoces” à coups de doses de cheval d’hydroxychloroquine…
Encore une pointure, comme dirait moncon de Blanc.
Et a été condamné à de fortes amendes pour fautes professionnelles !
Et est impliqué dans des tests payants illégaux sur des patients atteints de cancer.
Ça vient de sortir : https://www.sciencepresse.qc.ca/actualite/2024/02/02/quand-desinformation-medicale-devient-harcelement De Pascal Lapointe Vendredi 2 février 2024 “Il était prévisible que l’étude [publiée le 2 janvier 2024] concluant que le recours à l’hydroxychloroquine avait contribué à 17 000 morts au début de la pandémie, ne s’attirerait pas les louanges des défenseurs de ce médicament. Mais ceux-ci ont profité de l’opportunité pour relancer les fausses rumeurs autour de la pandémie et des vaccins, et pour injurier et menacer chercheurs et médecins. … depuis un mois, c’est plutôt à une accélération des dérapages qu’on a assisté. Des émissions de radio et de télé française en ont… Lire la suite »